Improvisation et montage vidéo sur le « chemsex », c’est-à-dire la consommation de substances « en contexte sexuel », phénomène préoccupant relativement à la santé sexuelle des hommes qui ont des relations sexuelles avec d’autres hommes (HSH).
Les résultats (portant sur les données de 2013 du Net Gay Baromètre) ont montré que les répondants consommateurs de ces substances sont plus homocentrés et urbains, partagent davantage une culture de sexe marginale (pratiques sexuelles alternatives, pratiques sexuelles à risque), sont plus souvent identifiés à des personnes des minorités visibles et plus nombreux à habiter en région parisienne.
Les variables associées à la consommation de ces substances montrent les liens entre consommation, comportements sexuels à risque et conséquemment exposition au VIH et au VHC : nombre élevé de partenaires, Pénétrations Anales Non Protégées par le préservatif en contexte de sérodivergence, pratique du bareback et d’autres sexualités alternatives, recherche de sensations fortes et d’amélioration de leurs performances sexuelles.
Ces données de 2013 montraient déjà une association entre la consommation de substances et les comportements sexuels à risque. L’édition actuelle du Net LGBTQ+ Baromètre a donc été totalement revisitée pour aborder avec plus de détails la fréquence et les divers modes et contextes de la consommation de substances psychoactives, en questionnant avec plus de précision le en contexte sexuel. Le Baromètre permet aussi d’évaluer l’impact du chemsex sur la santé physique, sexuelle et mentale des répondants concernés.
Les données récoltées en 2018 sont en cours d'analyse et vont conduire à des présentations orales.
Note : cette vidéo a été improvisée sur la base d’un REMIX #Lucy une des dernières et des plus belles créations de # Lomepal #FLIP en adéquation avec le sujet.
Les résultats (portant sur les données de 2013 du Net Gay Baromètre) ont montré que les répondants consommateurs de ces substances sont plus homocentrés et urbains, partagent davantage une culture de sexe marginale (pratiques sexuelles alternatives, pratiques sexuelles à risque), sont plus souvent identifiés à des personnes des minorités visibles et plus nombreux à habiter en région parisienne.
Les variables associées à la consommation de ces substances montrent les liens entre consommation, comportements sexuels à risque et conséquemment exposition au VIH et au VHC : nombre élevé de partenaires, Pénétrations Anales Non Protégées par le préservatif en contexte de sérodivergence, pratique du bareback et d’autres sexualités alternatives, recherche de sensations fortes et d’amélioration de leurs performances sexuelles.
Ces données de 2013 montraient déjà une association entre la consommation de substances et les comportements sexuels à risque. L’édition actuelle du Net LGBTQ+ Baromètre a donc été totalement revisitée pour aborder avec plus de détails la fréquence et les divers modes et contextes de la consommation de substances psychoactives, en questionnant avec plus de précision le en contexte sexuel. Le Baromètre permet aussi d’évaluer l’impact du chemsex sur la santé physique, sexuelle et mentale des répondants concernés.
Les données récoltées en 2018 sont en cours d'analyse et vont conduire à des présentations orales.
Note : cette vidéo a été improvisée sur la base d’un REMIX #Lucy une des dernières et des plus belles créations de # Lomepal #FLIP en adéquation avec le sujet.